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2013 (vol. 13)
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Note brève 7 [2013] : Dissocladella hauteriviana MASSE
in MASSE et al., 1999 (non MASSE, 1976), révision d'une autre algue dasycladale urgonienne ancienne, par
Bruno GRANIER.- Format [HTML] ou [PDF
1.990 KB] Référence : [CG2013_L07]
DOI : 10.4267/2042/53035
Langues :
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Résumé :
Attribuée à l'origine au genre Dissocladella (Pia
in Rao & Pia,
1936) de la Famille des Triploporellacées, l'espèce D. hauteriviana
Masse in Masse et
al., 1999, était supposément caractérisée par un thalle portant des
verticilles de latérales constituées chacunes d'une ramification primaire
trapue portant un bouquet de quatre ramifications secondaires minces à leur
extrémité distale. Une révision de ces latérales démontre qu'elles se
divisent plusieurs fois, et non une seule, et ce faisant diminuent de diamètre
à chaque étape. L'espèce est ré-attribuée à la Famille des
Thyrsoporellaceae dans une nouvelle combinaison au genre Deloffrella Granier
& Michaud, 1987. Dans l'état actuel des
connaissances, sa distribution stratigraphique est relativement courte
(Valanginien supérieur-Barrémien basal) ; de plus, elle disparaît plus tôt
que sa compagne Polyphysacée, i.e., Clypeina paucicalcarea
(Conrad, 1970), et sa répartition géographique est
plus importante, ce qui en fait un bon marqueur pour les séries de plate-forme
de l'Urgonien ancien.
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En ligne depuis le 25 décembre 2013
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Article 9 [2013] :
Cornulitides siluriens d'Estonie (Baltica), par
Olev VINN & Mark A. WILSON.-
Format [HTML] ou [PDF
1.050 KB]
Référence : [CG2013_A09]
DOI : 10.4267/2042/53034
Langue :
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Résumé : Sept espèces de cornulitides provenant du Silurien des îles Saaremaa et Hiiumaa en Estonie sont décrites : trois espèces sont présentes dans le Rhuddanien,
trois dans le Sheinwoodien, une dans le Gorstien et le Ludfordien, et trois espèces
dans le Pridoli. Ces cornulitides se rencontrent dans une gamme de faciès allant
des calcaires péloïdaux correspondant à des hauts-fonds jusqu'aux
marnes représentant la portion la plus profonde de la rampe carbonatée. Des
cornulitides symbiotiques et endobiontes sont présents dans les stromatoporoïdés
observés dans les domaines de haut-fond et de plate-forme ouverte. Les agrégats de
cornulitides sont limités aux calcaires du domaine de plate-forme ouverte,
probablement en raison de taux en nutriments plus élevés dans ces eaux que
dans celles de la rampe plus profonde. Seules les formes libres sont particulièrement fréquentes dans les marnes de la rampe
plus profonde, sans doute en raison de leur adaptation à la vie sur des sédiments meubles. Des
formes solitaires attachées s'observent dans toutes les ceintures de faciès
où les cornulitides sont présents. Parce que les modes de vie des
cornulitides sont étroitement associés à des zones particulières de faciès, ils
constituent des outils utiles pour les reconstructions paléoécologiques.
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En ligne depuis le 25 décembre 2013
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Notice nécrologique : Jean-Paul COLIN.-
Format [HTML] ou [PDF
245 KB]
Référence : [Jean-Paul_Colin]
DOI :
10.4267/2042/51849
Langue :
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Jean-Paul
COLIN (1948 - 2013) nous a quitté à la fin de cet été. Sa disparition est une perte
sévère pour notre communauté, non seulement parce qu'il
était un scientifique de réputation internationale, mais aussi parce qu'il était
éminemment connu pour ses qualités de fédérateur et aussi parce qu'il était, pour nombre d'entre nous, un ami proche.
Après avoir obtenu son diplôme de thèse en micropaléontologie à l'Université Paris VI en 1973, il
passera l'essentiel de sa carrière dans l'industrie pétolière, à l'exploration, d'abord
avec EXXON à Houston et Bègles de 1974 à 1989, puis avec ESSO REP à Bègles
jusqu'en 2000. (...)
Jean-Paul COLIN était un excellent naturaliste, aussi bien sur le terrain
qu'en laboratoire.
Il était toujours ouvert aux discussions scientifiques et techniques, souvent animées, entre collègues. Son enthousiasme pour les ostracodes était énorme et
c'était toujours un plaisir de débattre avec lui. (...)
Cordial par nature, il a aidé de nombreux ostracodologistes de toutes origines
qui s'adressaient à lui pour bénéficier de son expertise, et plus
particulièrement les juniors. (...)
À côté de ces activités, Jean-Paul COLIN faisait partie du comité
éditorial de plusieurs revues scientifiques internationales. (...) Il était,
entre autres, éditeur aux Notebooks on Geology [Carnets de
Géologie].
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En ligne depuis le 22 novembre 2013
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Addendum : Afin d'être
complète la liste bibliographique de Jean-Paul Colin
aurait dû également comporter la référence manquante suivante (Fida Medina,
communication personnelle): Medina F., Vachard D., Colin J.-P.,
Ouarhache D. & Ahmamou M'F. (2001).- Charophytes et ostracodes du niveau
carbonate de Taourirt Imzilen (Membre d'Aglegal, Trias d'Argana) : implications
stratigraphiques.- Bulletin de l'Institut scientifique, Rabat, (section Sciences
de la Terre), nº 23, p. 21-26.
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Format [HTML]
ou [PDF
17 KB]
En ligne depuis le 28 février 2014
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Note brève 6 [2013] : Sur l'attribution générique d'une ammonite de l'Aptien du Mexique:
Megatyloceras casei HUMPHREY, 1949 (Ammonoidea, Ancyloceratina), par Josep A. MORENO-BEDMAR & Gérard DELANOY.- Format [HTML] ou [PDF
2.824 KB] Référence : [CG2013_L06]
DOI : 10.4267/2042/51826
Langues :
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Résumé :
Dans ce travail, nous révisons l'attribution générique de l'espèce mexicaine d'ammonite Megatyloceras casei Humphrey,
1949. Grâce à un examen minutieux de l'holotype conservé à l'Université du Michigan et grâce aussi aux nouvelles données biostratigraphiques obtenues dans la
localité-type, cette révision nous permet d'inclure maintenant cette espèce dans le genre Epicheloniceras Casey,
1954.
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En ligne depuis le 11 novembre 2013
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Article 8 [2013] :
Daniel ŒHLERT (1849-1920) : biographie scientifique et bibliographie, par Christian C. EMIG.-
Format [HTML] ou [PDF
455 KB]
Référence : [CG2013_A08]
DOI : 10.4267/2042/51825
Langue :
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Résumé : Daniel Œhlert a fait toute sa carrière à Laval (Mayenne, France). Ses fonctions de bibliothécaire de la ville de Laval, puis de conservateur des musées d'archéologie et d'histoire naturelle de Laval, lui laissaient une indépendance pour se consacrer à la paléontologie et à la géologie. Avec son épouse Pauline, ils partageaient leurs recherches entre des études sur le terrain dans la Mayenne et la Sarthe et de longs séjours à Paris, surtout à la Sorbonne.
Les travaux d'Œhlert ont principalement porté sur les peuplements des mers paléozoïques du Maine, de l'Anjou et du Cotentin. Œhlert se consacra plus particulièrement à l'étude des Crinoïdes, des Trilobites et surtout des Brachiopodes. Dans leur collection, déposée au Musée des Sciences à Laval, on compte plus de 20 nouveaux genres avec plus de 150 nouvelles espèces d'invertébrés.
L'œuvre géologique et stratigraphique d'Œhlert est largement originale ; elle ne concerne pratiquement que des terrains paléozoïques des départements de la Mayenne et de la
Sarthe et, accessoirement, des départements de l'Orne et de l'Ille-et-Vilaine. En 1884, il devient collaborateur au Service de la Carte géologique de France.
Une centaine de publications s'échelonnent de 1877 pour s'arrêter brutalement en 1911 avec le décès de son épouse Pauline. La liste de tous ses travaux est fournie.
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En ligne depuis le 11 novembre 2013
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Article 7 [2013] :
Révision de la Collection Jesse Harlan JOHNSON. Première partie. Quelques Dasycladales fossiles du Guatémala, par
Bruno GRANIER, Rajka RADOIČIĆ & Katica DROBNE.-
Format [HTML] ou [PDF
7.459 KB]
Référence : [CG2013_A07]
DOI : 10.4267/2042/51824
Langue :
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Résumé : Ce premier rapport traite de la révision de quelques algues calcaires vertes
fossiles (Dasycladales), ou supposées telles (dans les faits un de ces taxons
attribué au genre Cylindroporella est un foraminifère), décrites de
terrains crétacés et paléocènes du Guatémala. Dans leur papier de 1965
J.H. Johnson and
H.V. Kaska avaient entre autres choses introduit trois nouvelles espèces
attribuée à l'origine aux genres Acroporella, Cylindroporella et
Cymopolia.
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Documents complémentaires : Planches
en couleur [PDF
1.368 KB]
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En ligne depuis le 11 novembre 2013
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Note brève 5 [2013] : Grains de pollen paléo-tropicaux dans le groupe de Neuquén, Patagonie, Argentine,
par Patricia VALLATI.
Format [HTML]
ou [PDF
297 KB] Référence : [CG2013_L05]
DOI: 10.4267/2042/51218
Langue :
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Résumé : Cette note discute la présence
de grains de pollen à élatères et d'autres palynomorphes paléo-tropicaux
caractéristiques dans le Groupe de Neuquén d'âge Crétacé moyen à
supérieur de la localité d'El Zampal au Sud de la Province de Mendoza en Argentine.
Au cours de l'intervalle Albien-Cénomanien, les élatèrates caractérisent la province paléofloristique
équatoriale. L'espèce Elateroplicites africaensis est présente dans l'association de
pollen extraite de la partie inférieure de la Formation Huincul,
à la base du Groupe de Neuquén. C'est la première fois que des grains
de pollen à élatères sont découverts en Argentine et cela correspond aussi
à leur occurrence la plus méridionale. D'autres éléments paléo-tropicaux incontestables sont présents dans différentes
unités lithostratigraphiques du Groupe de Neuquén : ce sont, par exemple,
des grains de pollen polyplicates de gymnospermes et des grains d'angiospermes, incluant deux espèces
à grains périporés du genre Cretacaeisporites, ainsi que l'espèce Confossia vulgaris
à grains triporés. La signification paléogéographique
et biostratigraphique de l'association de sporomorphes crétacés paléo-tropicaux extraite du
Groupe de Neuquén à El Zampal est discutée.
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En ligne depuis le 2 août 2013
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Note brève 4 [2013] : Praeorbitolina claveli n.sp. (foraminifère
benthique) de l'Aptien inférieur sensu lato (Bédoulien) du centre
de l'Iran, par Felix SCHLAGINTWEIT, Ioan I. BUCUR, Koorosh RASHIDI & Behnam SABERZADEH.
Format [HTML]
ou [PDF
1.755 KB] Référence : [CG2013_L04]
DOI: 10.4267/2042/51217
Langue :
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Résumé : Un
nouveau foraminifère orbitolinidé, Praeorbitolina claveli n. sp., est identifié dans
l'Aptien inférieur
(Bédoulien) de l'Iran central. Il se caractérise par un appareil embryonnaire
constitué d'une
zone subembryonnaire subdivisée ainsi que d'une déutéroconque. L'association
d'orbitolinidés d'âge Barrémien-Aptien de cette région présente un caractère typiquement
nord-téthysien (e.g., "association à Valserina" de Cherchi
et Schroeder, 1973).
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En ligne depuis le 2 août 2013
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Article 6 [2013] :
Nouvelles données sur les ammonites du Valanginien - Hauterivien de la région stratotypique de Neuchâtel (Jura suisse) : implications biostratigraphiques,
par Pierre-Olivier MOJON, Antonio MUSOLINO, Stefan BUCHER & Bernard CLAUDE.-
Format [HTML] ou [PDF
1.254 KB]
Référence : [CG2013_A06]
DOI : 10.4267/2042/51216
Langue :
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Résumé : De nouvelles données sur les ammonites du Valanginien supérieur - Hauterivien inférieur apportent des précisions sur le schéma biostratigraphique du Crétacé inférieur de la région stratotypique de Neuchâtel
(Jura suisse). Ainsi, Stoicoceras pitrei (Busnardo,
1966) du Calcaire roux limoniteux peut être rapportée à la partie supérieure de la biozone à Saynoceras verrucosum
(sous-zone à Karakaschiceras pronecostatum) du Valanginien supérieur. Dans l'Hauterivien
inférieur, Olcostephanus (O.) variegatus Paquier, 1900, de la partie supérieure des Marnes bleues d'Hauterive et Saynella cf. clypeiformis
(d'Orbigny, 1841) des Marnes d'Uttins (sommet de la partie inférieure de la Pierre jaune de
Neuchâtel) élargissent l'extension de la biozone à Lyticoceras nodosoplicatum par rapport à la biozone à Crioceratites loryi indiquée par Saynella neocomiensis (Baumberger, 1905) et un unique spécimen de Crioceratites cf. gr. loryi (Sarkar,
1955) trouvé en 1907.
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En ligne depuis le 2 août 2013
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Article 5 [2013] :
Étude de l'espèce Ochetoceras (Ochetoceras) canaliculatum (de Buch, 1831) (Oxfordien moyen, Zone à Transversarium), par
Philippe QUEREILHAC.-
Format [HTML] ou [PDF
4.465 KB]
Référence : [CG2013_A05]
DOI : 10.4267/2042/51215
Langue :
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Résumé : L'espèce Ochetoceras (Ochetoceras) canaliculatum (de Buch,
1831), discutée ici, est certainement la plus représentative de la Zone à Transversarium
(Oxfordien moyen) dans le Domaine téthysien (Province méditerranéenne). Elle
apparaît dans la Sous-Zone à Parandieri et semble disparaître dans la Sous-Zone
à Stenocycloides
(Oxfordien supérieur, base de la Zone à Bifurcatus). Elle est fortement représentée dans les populations ammonitiques et possède une large extension géographique. Une analyse montre qu'elle se trouve toujours associée à des espèces dénommées
Ochetoceras (Ochetoceras)
hispidum [M] (Oppel, 1863) et Glochiceras (Glochiceras) subclausum [m] (Oppel, 1863) ; de nombreux auteurs ont pensé depuis longtemps qu'il s'agissait d'une seule et même espèce.
Ces trois "espèces" sont donc réunies sous la dénomination Ochetoceras (Ochetoceras) canaliculatum (de Buch,
1831) : le macroconque correspondant aux "morphes" canaliculatum et hispidum
est polymorphique, évoluant d'un pôle mince vers un pôle épais ; quant
au "morphe" subclausum, il s'agit d'un microconque dimorphique sexuel.
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En ligne depuis le 2 août 2013
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Erratum : Page 219 au lieu de :
"À la lecture d'anciennes publications, il est apparu que le nom d'auteur (de Buch) avait été mal transcrit et que la date de création de l'espèce (1831) était erronée : ces faits
ont été mis en évidence à l'aide de l'I.C.Z.N. (4ème édition,
1999), inconnu à l'époque. L'application des articles de ce dernier a permis de corriger ces erreurs. L'Ammonites canaliculatus Graf von Münster
-- figurée dans la publication de von Zieten datée de
1832 --, l'Ammonites hispidus Oppel, 1863 et l'Ammonites subclausus Oppel,
1863
-- toutes deux figurées et décrites par cet auteur --, sont maintenant réunies sous l'appellation Ochetoceras (Ochetoceras) canaliculatum (de Buch,
1831)",
il convient de lire :
"À la lecture d'anciennes publications, il est apparu que le nom d'auteur (de Buch) avait été mal transcrit. L'Ammonites canaliculatus Graf von Münster,
de Buch, 1831, l'Ammonites hispidus Oppel,
1863,
et l'Ammonites subclausus Oppel, 1863, sont maintenant réunies sous l'appellation Ochetoceras (Ochetoceras) canaliculatum (de Buch,
1831)".
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Format [HTML]
ou [PDF
30 KB]
En ligne depuis le 4 août 2013
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Note brève 3 [2013] : Tubes de cornulitides de l'Ordovicien de la Baltique orientale, par Olev VINN.-
Format [HTML]
ou [PDF
635 KB] Référence : [CG2013_L03]
DOI: 10.4267/2042/51214
Langue :
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Résumé : Neuf espèces de cornulitides
provenant de l'Ordovicien d'Estonie sont décrites. La première espèce, Cornulites semiapertus, apparaît
au Darriwilien terminal (Ordovicien moyen) et les deux suivantes au Sandbien ;
enfin, on trouve six espèces au Katien, ce qui indique une diversification rapide des cornulitides au cours de l'Ordovicien supérieur en Baltique. Tous les cornulitides étudiés dans l'Ordovicien d'Estonie
sont rencontrés dans des sédiments marins de plate-forme carbonatée
peu profonde : ils y sont observés encroûtant
essentiellement des coquilles de brachiopodes, de leur vivant ou post-mortem.
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En ligne depuis le 22 juillet 2013
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Article 4 [2013] :
L'Estellon (Baronnies, France), une "Pierre de Rosette" pour la biostratigraphie de
l'Urgonien, par
Bruno GRANIER, Bernard CLAVEL, Michel MOULLADE, Robert BUSNARDO, Jean CHAROLLAIS, Guy TRONCHETTI & Pierre DESJACQUES.-
Format [HTML] ou [PDF
8.169 KB]
Référence : [CG2013_A04]
DOI : 10.4267/2042/51213
Langue :
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Résumé : Des associations d'organismes habituellement caractéristiques de faibles tranches d'eau (des orbitolinidés et des
algues, en particulier) ont été identifiées dans des faciès relativement profonds de la "fosse
vocontienne" (SE de la France), où ces éléments ont été transportés gravitairement et précocement resédimentés. Dans un tel contexte paléoenvironnemental, ces associations benthiques peuvent être directement calibrées sur les zones
d'ammonites. D'après ces nouvelles observations, entre autres résultats, la première apparition de Palorbitolina lenticularis ainsi que celles de quatre représentants du genre Orbitolinopsis, soi-disant typiques de l'Aptien inférieur, sont datées du Barrémien inférieur. De fait la plupart des espèces d'orbitolinidés connues dans le Barrémien supérieur sont déjà présentes au Barrémien inférieur à
L'Estellon. Concernant les plates-formes urgoniennes, les schémas de corrélations couramment utilisés, qui s'appuient sur des distributions biaisées
(tronquées) d'orbitolinidés -- et par conséquent les conclusions et hypothèses qui en sont dérivées --, nécessitent au
moins des révisions en profondeur, sinon un rejet définitif.
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En ligne depuis le 22 juillet 2013
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Erratum : À la page 175,
première colonne (en bas), on doit lire : "2) Genus Dictyoconus Blanckenhorn,
1900", au lieu de : "2) Genus Dictyorbitolina Blanckenhorn,
1900".
À la page 175, seconde colonne (en haut), on doit
lire : "Provisionally attributed to the genus Dictyoconus", au
lieu de : " Provisionally attributed to the genus Dictyorbitolina".
À la page, seconde colonne, on doit lire : "nor between Dictyoconus ? vercorii and Dictyoconus
aff. vercorii", au lieu de : "nor between Dictyorbitolina ? vercorii and Dictyorbitolina aff. Vercorii".
De la même façon, pour les Planche 8, figs. 10-12, Planche 9, fig. 7,
et Planche 10, fig. 4, on lira "Dictyoconus ? vercorii" au lieu de "Dictyorbitolina ? vercorii".
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Format [HTML]
ou [PDF
27 KB]
En ligne depuis le 25 décembre 2013
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Article 3 [2013] :
Ammonitofaune du Barrémien de la coupe de L'Estellon (Baronnies, SE France) : résultats biostratigraphiques préliminaires, par
Robert BUSNARDO, Bruno GRANIER, Bernard CLAVEL & Jean CHAROLLAIS.-
Format [HTML] ou [PDF
4.565 KB]
Référence : [CG2013_A03]
DOI : 10.4267/2042/51212
Langue :
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Résumé : L'étude de l'ammonitofaune de la coupe de L'Estellon (département de la Drôme, France) permet de dater les épisodes de la sédimentation gravitaire dans ce secteur de la Fosse vocontienne. Ils couvrent pratiquement l'ensemble du Barrémien, depuis la Zone à Nicklesi jusqu'à celle à Giraudi. Nous n'y avons pas caractérisé de resédimentation bédoulienne, la barre bédoulienne auct. correspondant au Barrémien terminal.
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En ligne depuis le 22 juillet 2013
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Mémoire 2 [2013] : Mammifères et reptiles priaboniens du massif de Platé (Haute-Savoie, France), par Michel DELAMETTE & Jean A. REMY.-
Format [HTML]
ou [PDF
5.875 KB] Référence : [CG2013_M02]
DOI:
10.4267/2042/50056
Langue :
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Résumé : Une
lentille de calcaire marneux induré à la base de la série tertiaire des
Grandes Platières (massif de Platé, Haute-Savoie) a livré la plus importante
collection de restes de vertébrés actuellement connue dans le Paléogène des
Alpes occidentales. Les mammifères ongulés sont représentés par 35 dents
attribuées à 9 taxons (4 périssodactyles et 5 artiodactyles). Cette faune
paraît contemporaine de celle de La Débruge
(niveau MP 18), datée d'environ -35,5 MA. Le nouveau site, dénommé
gisement des Perdrix, est situé stratigraphiquement à 20-35 m en-dessous de celui dans lequel
Weidmann
et al. (1991) avaient mis au jour quelques restes de mammifères qu'ils ont attribués au niveau MP 20. La nouvelle faune est donc plus ancienne d'environ 1,5 MA. Sa composition et la nature palustre du dépôt suggèrent que les animaux concernés vivaient dans un environnement varié comportant des espaces boisés à proximité de zones humides marécageuses.
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En ligne depuis le 17 mai 2013
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Note brève 2 [2013] : Un banc remarquable par ses skolithes dans le Pridoli supérieur (Silurien) de Saaremaa (Estonie), par Olev VINN & Mark A. WILSON.-
Format [HTML] ou [PDF
1.833 KB]
Référence : [CG2013_L02]
DOI :
10.4267/2042/49316
Langue :
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Résumé : Un banc remarquable par ses skolithes
dans le Pridoli supérieur (Silurien) de Saaremaa (Estonie).- D'abondants terriers de
type Skolithos sont décrits dans une strate
remarquable, bathydécroissante, identifiée dans la falaise de Ohesaare
(Pridoli) à Saaremaa (Estonie). Ces terriers cylindriques et verticaux sont attribués à Skolithos plutôt qu'à Trypanites, car
quand ils rencontrent de gros bioclastes dans la matrice calcaire du
banc ils ont pris l'option de les contourner plutôt que de les
traverser. L'absence d'encroûtement à la surface sommitale du banc
est une preuve supplémentaire que ces traces correspondent à des terriers dans un sédiment meuble plutôt
qu'à des perforations dans un fond durci. Nous interprétons cette intense bioturbation par
les organismes produisant des skolithes comme une des
caractéristiques d'un paléoenvironnement de faible bathymétrie à
hydrodynamisme élevé.
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En ligne depuis le 24 avril 2013
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Article 2 [2013] : Xerticeras gen. nov., un nouveau genre d'ammonite hétéromorphe micromorphe (Ancyloceratina, Ancyloceratidae) de l'Aptien inférieur d'Espagne, par Gérard DELANOY, Josep A. MORENO-BEDMAR, José J. RUIZ & Domingo TOLÓS LLÁDSER.-
Format [HTML] ou [PDF
4.285 KB]
Référence : [CG2013_A02]
DOI :
10.4267/2042/49315
Langue :
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Résumé : L'étude biostratigraphique et
paléontologique des dépôts de
l'Aptien inférieur de la chaine ibérique orientale (Espagne) a révélé
l'existence d'un nouveau genre d'ammonite hétéromorphe micromorphe : Xerticeras
gen. nov. (espèce type : Xerticeras
salasi sp. nov). Ce nouveau taxon est présent dans les zones
d'ammonites à Deshayesites deshayesi
et Dufrenoya furcata de la région étudiée. La différence de taille constatée
dans la population est considérée comme l'expression d'un dimorphisme sexuel.
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En ligne depuis le 24 avril 2013
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Note brève 1 [2013] : Révision de l' Heteroporella ? paucicalcarea (Conrad, 1970), une algue dasycladale urgonienne, par Bruno GRANIER.-
Format [HTML] ou [PDF
1.412 KB]
Référence : [CG2013_L01]
DOI :
10.4267/2042/48737
Langue :
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Résumé : À sa création l'espèce Heteroporella ? paucicalcarea (Conrad,
1970) a été laissée en nomenclature ouverte. Ultérieurement de nouvelles
combinaisons ont été proposées mais aucune n'a rencontrée l'unanimité parmi
les paléophycologues. Compte-tenu de l'acception actuelle des familles d'algues
dasycladales, nous rapportons ce taxon à la Famille des Polyphysaceae et par
contre-coup au genre Clypeina (Michelin, 1845). Sa répartition stratigraphique connue est plutôt courte (Hauterivien
supérieur-Barrémien inférieur), ce qui en fait un bon marqueur fossile dans
les séries de plates-formes carbonatées urgoniennes. Sa distribution
géographique est apparemment réduite à l'Europe occidentale (Espagne, France et Suisse).
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En ligne depuis le 28 février 2013
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Article 1 [2013] : Nouvelles données paléontologiques et stratigraphiques au passage Aptien - Albien dans les Pyrénées ariégeoises (France), par Jacques REY, Josep Anton MORENO-BEDMAR, Michel BILOTTE & Ricardo MARTÍNEZ.-
Format [HTML] ou [PDF
1.910 KB]
Référence : [CG2013_A01]
DOI :
10.4267/2042/48733
Langue :
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Résumé : La découverte d'ammonites du passage
Aptien - Albien (biozones à Hypacanthoplites jacobi et à Leymeriella tardefurcata), dans la série urgonienne de la couverture du massif de l'Arize invalide l'attribution antérieure au Clansayésien inférieur proposée sur des arguments paléontologiques non contraints.
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En ligne depuis le 28 février 2013
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Mémoire 1 [2013] : Hemidiadema rugosum Agassiz, 1846, et H. neocomiense (Cotteau, 1869) (Euechinoidea, Camarodonta, Glyphocyphidae) du Crétacé inférieur du Bassin parisien (France), par Arnaud CLÉMENT.-
Format [HTML]
ou [PDF
2.725 KB] Référence : [CG2013_M01]
DOI:
10.4267/2042/48481
Langue :
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Résumé : Les espèces Hemidiadema rugosum Agassiz,
1846, et H. neocomiense (Cotteau, 1869), petits échinides réguliers mal connus et sources de nombreuses confusions – de part leur rareté et l'insuffisance de leur description originale par leur auteur respectif –, sont révisées afin de clarifier leurs différences et leur statut
taxonomique. Cette révision s'appuie sur l'examen de six exemplaires d'H. rugosum
(dont l'holotype, non figuré par son auteur à l'origine) tous provenant du locus typicus et du stratum typicum ("Grès ferrugineux"
du Clansayésien
[Aptien supérieur sensu gallico] de Grandpré, Ardennes) et sur un unique spécimen d'H. neocomiense provenant du stratum typicum ("Calcaire à Spatangues" de l'Hauterivien inférieur (? Zone à Lyticoceras nodosoplicatum)) de
Ville-sur-Saulx (Meuse), région proche du locus typicus (Auxerre, Yonne)). Pour cette dernière
espèce, un néotype est désigné en remplacement de l'holotype non retrouvé. Des remarques sur la paléoécologie et les répartitions géographique et stratigraphique de ces deux espèces sont
précisées. La révision de ces deux espèces donne l'occasion de proposer une diagnose émendée du genre Hemidiadema Agassiz,
1846, Glyphocyphidae peu connu.
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En ligne depuis le 21 janvier 2013
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