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2011 (vol. 11)  

Mémoire 2 [2011] : Les ammonites de l'Aptien inférieur (Crétacé inférieur) des Monts Aralar, Bassin basco-cantabrique, Espagne septentrionale, par Seyed Naser RAISOSSADAT.-
Format [HTML] ou [PDF 1.498 KB]
Référence : [CG2011_M02]
DOI : 10.4267/2042/45794
Langue : 

 Résumé :  Le massif d'Aralar, situé dans le nord de l'Espagne, montre sur 983 m d'épaisseur une succession de sédiments d'âge Aptien inférieur. La succession lithologique débute par les lutites, puis les marnes et les calcarénites de la Formation Errenaga, auxquelles succèdent les calcaires micritiques à rudistes de la Formation Sarastarri, et enfin les marnes, puis les lutites et les grès de la Formation Lareo. Basées sur des assemblages d'ammonites, les biozones à Deshayesites oglanlensis, D. weissi, D. deshayesi et Dufrenoyia furcata ont été identifiées. La transition entre la Zone à deshayesi et celle à furcata observée ici est un cas unique dans l'état actuel des connaissances, notamment en raison de la cooccurrence d'ammonites des genres Deshayesites et Dufrenoyia. Ces ammonites sont décrites et les corrélations avec d'autres régions du domaine téthysien sont présentées.

En ligne depuis le 31 décembre 2011


Article 5 [2011] : Xenobrochus norfolkensis (Brachiopoda: Dyscoliidae), une nouvelle espèce de la Ride de Norfolk, Nouvelle-Calédonie, SW Pacifique, par Maria Aleksandra BITNER.-
Format [HTML] ou [PDF 2.151 KB]
Référence : [CG2011_A05]
DOI : 10.4267/2042/45792
Langue : 

 Résumé :  Le genre Xenobrochus (espèce-type Gryphus africanus Cooper, 1973) a été établi pour des brachiopodes de petite taille, rectimarginés et ayant une boucle courte avec une bande transverse à convexité antérieure. Une nouvelle espèce, Xenobrochus norfolkensis sp. nov., a été identifiée au sein du matériel récolté au cours des campagnes françaises SMIB 8, NORFOLK 1 et NORFOLK 2 dans la Ride de Norfolk (Nouvelle-Calédonie, SW Pacifique). Cette espèce diffère des précédentes par l'absence du processus cardinal et par des plaques cardinales relativement larges. Le genre comporte maintenant neuf espèces ; sa distribution géographique est restreinte à l'Océan Indien et à l'Ouest de l'Océan Pacifique.

En ligne depuis le 31 décembre 2011


Note brève 6 [2011] : Le sauropode dinosaurien Cetiosaurus OWEN dans le Bathonien (Jurassique Moyen) des Ardennes (NE France) : insulaire, mais pas nain, par Eric BUFFETAUT, Bernard GIBOUT, Isabelle LAUNOIS & Claude DELACROIX.-
Format [HTML] ou [PDF 389 KB]
Référence : [CG2011_L06]
DOI : 10.4267/2042/43897
Langues :  

 Résumé :  Un os chevron provenant d'un calcaire oolithique du Bathonien inférieur des Ardennes (NE de la France) est rapporté au dinosaure sauropode Cetiosaurus Owen, connu précédemment dans le Jurassique moyen d'Angleterre, à cause de son extrémité distale en baguette. C'est le premier indice bien attesté de la présence de Cetiosaurus en France. La présence de restes de Cetiosaurus à la fois dans l'Oxfordshire et dans les Ardennes s'explique par le fait que ces régions étaient situées sur la marge du Massif Londres-Brabant, terre émergée sur laquelle vivaient apparemment des populations de dinosaures. Contrairement au cas d'autres sauropodes dans des environnements insulaires, il n'y a pas de traces de nanisme chez les Cetiosaurus du Massif Londres-Brabant, probablement parce que cette terre émergée était connectée au Bouclier Fenno-Scandien, beaucoup plus vaste.

En ligne depuis le 10 Octobre 2011


Note brève 5 [2011] : Évolution de la couche externe, dense et protectrice, du tube de Serpulidés (Polychètes, Annélides), par Olev VINN & Elena K. KUPRIYANOVA.-
Format [HTML] ou [PDF 1.145 KB]
Référence : [CG2011_L05]
DOI : 10.4267/2042/43896
Langue : 

 Résumé :  Alors que les parois de la plupart des tubes de Serpulidés sont homogènes, les tubes de quelques espèces peuvent présenter jusqu'à quatre couches à ultrastructures variées. Quelques-unes de ces couches sont constituées de gros cristaux compacts et d'autres de fins cristaux  épars. Chez presque toutes les espèces étudiées ayant un tube stratifié (16 sur 17), la couche compacte se situe dans la partie externe de la paroi minéralisée du tube ; quant à celle(s) constituée(s) de cristaux fins et présentant un agencement relativement lâche, elle(s) se trouve(nt) dans la partie interne de la paroi. Deux espèces présentent des parois transparentes  constituées de cristaux compacts. Les tubes de Serpulidés fossiles à couches externes compactes ("dense outer layers", DOL) sont connus dès le Crétacé supérieur avec Pentaditrupa subtorquata, et à l'Éocène avec, par exemple, Pyrgopolon cf. mellevillei et Rotularia spirulaea. Cette ultrastructure, DOL, donne un aspect lisse et brillant, caractéristique, à la surface du tube et pourrait résulter d'une adaptation pour contrer la prédation par les Gastéropodes perforants et pour retarder la dissolution de la paroi minéralisée dans des eaux sous-saturées en carbonate de calcium.

En ligne depuis le 10 Octobre 2011


Note brève 4 [2011] : Ammonites aptiennes d'Abou Dabi (Émirats Arabes Unis), par Robert BUSNARDO & Bruno GRANIER.-
Format [HTML] ou [PDF 2.150 KB]
Référence : [CG2011_L04]
DOI : 10.4267/2042/43895
Langues :  

 Résumé :  La détermination d'une vingtaine de fragments d'ammonites extraites de forages pétroliers effectués au large de l'émirat d'Abou Dhabi fait apparaître la présence de six genres aptiens : Cheloniceras, Epicheloniceras, Gargasiceras, Colombiceras, Pseudohaploceras et Macroscaphites. Ils sont attribués au Gargasien (Zone à Furcata  et Zone à Martini). Ils fixent ainsi, respectivement pour  partie et en totalité, l'âge des séries traversées, le Shu'aiba (plus précisément son HST) et le Bab.

En ligne depuis le 10 Octobre 2011


Note brève 3 [2011] : Origine et diagénèse des clinopyroxènes dans les bassins de la Loire et de la Seine (France) à partir de leur analyse morphoscopique et colorimétrique, par Robert ÉTIENNE & Jean-Pierre LARUE.-
Format [HTML] ou [PDF 439 KB]
Référence : [CG2011_L03]
DOI : 10.4267/2042/43894
Langue : 

 Résumé :  L'analyse morphoscopique et colorimétrique des clinopyroxènes contenus dans les alluvions et les formations superficielles de la vallée de la Loire moyenne, du Gâtinais et de la Beauce montre qu'une part notable de ces minéraux provient de retombées volcaniques récentes. Les autres CPX, soit après leur mise en place dans les alluvions, soit lors de leur recyclage dans les colluvions, subissent une altération qui progresse avec l'ancienneté du dépôt. Ainsi, les CPX bruns évoluent vers des tonalités intermédiaires ou affaiblies, entre le vert et le brun, par altération périphérique. L'existence d'une paléo-Loire-Seine quaternaire apparaît très improbable car les CPX trouvés dans le bassin de la Seine proviennent, soit du remaniement des dépôts solognots, soit de retombées volcaniques récentes.

En ligne depuis le 10 Octobre 2011


Mémoire 1 [2011] : Les "Marnes à theoi" de Pamproux (Deux-Sèvres, France), Sous-Zone à Antecedens (Oxfordien moyen, Zone à Plicatilis) : diversité des faunes et découverte de nouvelles espèces d'ammonites, par Philippe QUEREILHAC & Yvon GUINOT.-
Format [HTML] ou [PDF 3.154 KB]
Référence : [CG2011_M01]
DOI: 10.4267/2042/42331
Langue : 

 Résumé :  Deux coupes effectuées à Doux et Pamproux dans le département des Deux-Sèvres (Poitou, France) ont mis à jour la base de l'Oxfordien moyen (Zone à Plicatilis). Seule la coupe de Pamproux (située sur le site de l'usine Pampr'oeuf), dont la Zone à Plicatilis n'est représentée que par la Sous-Zone à Antecedens, est étudiée dans le détail. Les collectes ont été effectuées in situ et dans les déblais constitués uniquement de marnes attribuées à la Sous-Zone à Antecedens. Le lavage des sédiments a permis de collecter un très grand nombre de fossiles très diversifiés et de tailles extrêmement réduites. C'est ainsi que furent découverts un grand nombre d'individus appartenant à deux nouvelles espèces de Taramelliceratinae, ainsi que deux nouvelles espèces de "Glochiceras", de taille adulte bien différentes, ressemblant à s'y méprendre à Ochetoceras (Ochetoceras) canaliculatum (von Buch, 1831) morphe subclausum [m] Oppel, 1863. La sous-famille  des Taramelliceratinae est la faune ammonitique dominante.

En ligne depuis le 5 Juillet 2011


Note brève 2 [2011] : Base d'identification assistée par ordinateur des genres d'archéocyathes disponible en ligne, par Adeline KERNER, Régine VIGNES LEBBE & Françoise DEBRENNE.-
Format [HTML] ou [PDF 965 KB]
Référence : [CG2011_L02]
DOI: 10.4267/2042/42329
Langue : 

 Résumé :  Les archéocyathes sont un groupe-clé dans différents domaines de l'histoire de la Vie et de la Terre: ils représentent les plus anciennes éponges à squelette calcifié, ils sont les premiers métazoaires constructeurs de récifs, en consortium avec des calcimicrobes, ils ont été les fossiles caractéristiques des biozonations du premier étage pré-trilobitique du Cambrien, le Tommotien… Pour faciliter l'accès à leur identification il a paru nécessaire de proposer l'outil qui manquait jusqu'à présent. Une base de connaissances en anglais, réalisée à l'aide du logiciel XPER2 est aujourd'hui mise en ligne gratuitement. Elle comprend les 307 genres considérés actuellement valides et contient un module d'identification utilisant 120 descripteurs (85 morphologiques et ontogénétiques, 8 stratigraphiques et géographiques et 27 taxonomiques) et des fiches descriptives détaillées avec les photos des spécimens-types pour chaque genre.

En ligne depuis le 5 Juillet 2011


Article 4 [2011] : Un gisement d'ostracodes non-marins dans l'Éocène inférieur du Djebel Amour, Atlas saharien central, Algérie : taxonomie, paléoécologie et paléobiogéographie, par Fateh MEBROUK, Jean-Paul COLIN & Fatima HENNACHE.-
Format [HTML] ou [PDF 1.866 KB]
Référence : [CG2011_A04]
DOI: 10.4267/2042/42328
Langue : 

 Résumé :  Un gisement bien daté par une riche microflore de charophytes caractéristique de la zone à Peckichara disermas, de l'Éocène inférieur (Yprésien inférieur = Sparnacien = Ilerdien) a livré une intéressante association d'ostracodes non-marins dans le Djebel Amour, Atlas Saharien occidental, en Algérie. Cette faune est caractérisée par la dominance du genre Neocyprideis avec l'espèce nouvelle Neocyprideis meguerchiensis nov. sp. et la présence occasionnelle des genres Hemicyprideis, Perissocytheridea (P. algeriensis nov. sp.) et Limnocythere. Il s'agit de la seconde découverte du genre Neocyprideis dans le Paléogène du continent africain, la première étant dans l'Éocène inférieur du Sénégal. Les Neocyprideis sont représentés à 75 % par des formes lisses, normalement calcifiées, à 20 % par des individus réticulés et tuberculés et à 5 % par des spécimens uniquement réticulés. Ce polymorphisme suggère une saisonnalité marquée avec une salinité variable. La dominance des morphes lisses bien calcifiés indique un milieu avec un équilibre entre le Ca++ et le Mg++, les morphes réticulés caractérisant un milieu plus riche en Mg++. La présence de forme tuberculées-réticulées suggère des apports saisonniers organo-siliceux continentaux et une salinité pouvant temporairement atteindre des valeurs inférieures ou égales à 5 psu.

En ligne depuis le 5 Juillet 2011


Article 3 [2011] : Distribution des ostracodes dans les sédiments de subsurface de la Sebkha El-Guettiate (Skhira, golfe de Gabès). Intérêt pour la reconstitution des paléo-environnements de l'Holocène, par Chahira ZAÎBI, Fekri KAMOUN, Pierre CARBONEL & Mabrouk MONTACER.-
Format [HTML] ou [PDF 1.598 KB]
Référence : [CG2011_A03]
DOI: 10.4267/2042/42327
Langue : 

 Résumé :  L'étude quantitative et qualitative des ostracodes des carottes SG1 et BSC2, prélevées au niveau de la Sebkha El-Guettiate de Skhira (Sud - Est Tunisien), nous a permis de reconnaître les trois associations suivantes : (1) association de milieu marin s.l. composée de Aurila prasina Barbieto-Gonzalez, 1971, Cushmanidea elongata (Brady, 1868), Urocythereis oblonga (Brady, 1866), U. favosa (Roemer, 1838) (marin côtier), Basselerites berchoni (Brady, 1869), Semicytherura incongruens (G.W. Müller, 1894), S. paradoxa (G.W. Müller, 1894), S. sella (Sars, 1866), S. ruggierii (Pucci, 1955), Carinocythereis carinata (Roemer, 1838) et Paracytheridea depressa (G.W. Müller, 1894) (marin ouvert) ; (2) association de milieu lagunaire, à salinité variable, constituée, de Xestoleberis aurantia (Baird, 1838), Leptocythere fabaeformis (G.W. Müller, 1894) et Cytherois fischeri (Sars, 1866), (3) association de milieu saumâtre estuarien où se développent Cyprideis torosa (Jones, 1850) et Loxoconcha elliptica Brady, 1868. Ces associations révèlent les caractéristiques des paléo-environnements qui se sont succédés, au cours de l'Holocène supérieur, à l'emplacement de la Sebkha El-Guettiate. Trois phases peuvent être reconnues : i) la première phase à caractère lagunaire estuarien dominant (6595 ± 120 à 6055 ± 30 ans B.P.) comprend un environnement lagunaire ouvert riche en ostracodes marins dominants évoluant brutalement vers un environnement lagunaire estuarien. Ce dernier est caractérisé par un évènement de haute énergie, vers 6595 ± 120 ans B.P., révélé par des apports détritiques riches en galets, synchrones à l'enrichissement des ostracodes saumâtres. Ensuite, une lagune s'installe vers 6055 ± 30 ans B.P. permettant le développement des ostracodes principalement saumâtres dominants mais aussi lagunaires. ii) la phase suivante (6055 ± 120 à 5150 ± 50 ans B.P.) se distingue par la réapparition des taxons marins associés aux espèces lagunaires et saumâtres traduisant une lagune estuarienne largement ouverte soumise à l'influence des courants de dérive littorale. Ces courants, en édifiant des cordons littoraux, ont entraîné la fermeture du milieu et la fin de la dominance des ostracodes saumâtres. iii) la dernière phase (5150 ± 50 ans B.P. à l'actuel) comprend un milieu caractérisé par la richesse des taxons lagunaires évoluant vers un milieu laguno-saumâtre recevant le dépôt de washover suite à un événement climatique extrême. La lagune, de plus en plus fermée, évoluera progressivement vers la sebkha actuelle.

En ligne depuis le 5 Juillet 2011


Article 2 [2011] : Difficultés de datation des niveaux marins pléistocènes à l'aide de coquilles de mollusques fossiles : cas du niveau ouljien sur la côte du Haut Atlas au Maroc, par Abdelmajid Choukri, Oum-Keltoum HaKam & Jean-Louis Reyss.-
Format [HTML] ou [PDF 2.196 KB]
Référence : [CG2011_A02]
DOI: 10.4267/2042/39245
Langue : 

 Résumé :  Afin de comprendre la difficulté de datation des niveaux marins à l'aide des échantillons de coquilles de mollusques et d'essayer d'établir des outils méthodologiques pouvant aider à juger de la validité d'un âge 230Th /234U, nous confrontons 80 analyses radiochimiques d'échantillons de coquilles de mollusques prélevés dans des plages marines fossiles situées entre 4 et 8 m par rapport au niveau de l'eau actuel. les niveaux où ont été faits les prélèvements, analogues à ceux de la côte égyptienne de la Mer Rouge, sont sensés appartenir au stade climatique 5e daté à 122 ka environ. On note que les âges obtenus sont souvent rajeunis indépendamment du site, du taux de calcite, de la teneur en uranium et du rapport 234U/238U.
Contrairement aux échantillons de coraux, le critère minéralogique ne peut pas être utilisé pour choisir les échantillons non recristallisés, certaines coquilles de mollusques actuelles sont en aragonite, d'autres sont en calcite et d'autres contiennent les deux formes sans que les rapports de proportion en soient encore bien connus. Devant cette situation, nous avons multiplié les analyses sur des échantillons de coquilles de mollusques appartenant à plusieurs espèces prélevés aux mêmes endroits afin de comprendre le scénario de rajeunissement des âges et d'essayer d'établir éventuellement des critères méthodologiques pouvant nous renseigner sur la validité de l'âge calculé. Des scénarios sur le mode d'incorporation de l'uranium et son rôle dans le rajeunissement de l'âge ont été également imaginés et discutés.

En ligne depuis le 27 Avril 2011


Discussion sur l'Article CG2010_A01, vol. 10, n° A01 [2011] : Discussion sur : Le problème de l'identité de "Crioceras" barremense KILIAN, 1895 (Ancyloceratida, Barrémien supérieur), et ses possibles solutions, par D. BERT et alii (CG2010_A01) [Titre alternatif : Le statut nomenclatural et la compréhension du genre Barrancyloceras VERMEULEN, 2000, et de son espèce-type], par Jean VERMEULEN.-
Format [HTML] ou [PDF 165 KB]
Référence : [CG2010_A01R]
DOI: 10.4267/2042/39244
Langue : 

 Résumé :  Ce travail est une réponse au travail de Bert et alii (2010) qui ont discuté la validité du genre Barrancyloceras et de son espèce-type. Les réponses et précisions apportées ici concernent :

  • le statut nomenclatural de Barrancyloceras barremense Kilian, 1895 ;
  • le statut nomenclatural du genre Barrancyloceras Vermeulen, 2000 ;
  • la compréhension de l'espèce Barrancyloceras barremense (Kilian, 1895) ;
  • la valeur, en tant qu'espèces-index de sous-zone, de Barrancyloceras barremense et de B. alpinum.

En ligne depuis le 27 Avril 2011


Note brève 1 [2011] : Le rôle d'un revêtement organique interne dans la biominéralisation de tubes de serpulidés, par Olev VINN.-
Format [HTML] ou [PDF 795 KB]
Référence : [CG2011_L01]
DOI: 10.4267/2042/38798
Langue : 

 Résumé :  La plupart des ultrastructures biominéralisées observées au contact du revêtement organique interne du tube des serpulidés ne présentent pas d'indices de croissance directionnelle. Cependant des structures sphérolitiques prismatiques observées sur la face interne du tube de formes modernes telles que Crucigera websteri, C. zygophora, Floriprotis sabiuraensis et Pyrgopolon ctenactis indiquent que cette structuration s'accroît en direction de la couche organique interne et aussi vers la lumière du tube. Cette direction de croissance s'observe également chez un Hydroides sp. du Miocène d'Autriche. Elle est contraire à celle qu'on attendrait dans l'hypothèse où le revêtement organique interne ne jouerait que le rôle de simple support dans la biominéralisation du tube en CaCO3.

En ligne depuis le 15 Mars 2011


Article 1 [2011] : L'horizon à Dichotomus : proposition d'une nouvelle unité biochronologique de la zone à Giraudi du Barrémien supérieur du Sud-Est de la France, et considérations sur le genre Imerites Rouchadzé (Ammonitina, Gassendiceratinae), par Didier BERT, Gérard DELANOY & Stéphane BERSAC.-
Format [HTML] ou [PDF 786 KB]
Référence : [CG2011_A01]
DOI: 10.4267/2042/36091
Langue : 

 Résumé :  Les récentes révisions du genre Imerites Rouchadzé permettent à présent d'introduire un nouvel horizon biochronologique afin de mieux définir la limite inférieure de la Zone à Giraudi : l'horizon à Dichotomus. Par l'application du concept de la zone d'intervalle, l'utilisation de cet horizon permet de conserver la limite inférieur actuelle de la zone à Giraudi telle qu'elle a été acceptée par les auteurs, et ainsi de contribuer à la stabilisation du schéma zonal du Barrémien. Cette stabilisation est aussi renforcée par l'abandon de l'usage de "Crioceras" cristatus d'Orbigny (nomen dubium) qui ne devrait pas être utilisé comme espèce indice au détriment de Imerites giraudi (Kilian). La classification, l'origine et la variabilité intraspécifique du genre Imerites Rouchadzé sont aussi discutées.

En ligne depuis le 17 Janvier 2011


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